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La quatrième de couv. indique : Au fil de ces récits, Louis Costel s'attache à nous révéler les joies et les tristesses de ces " Bonnes gens " de la province - cette province où nous avons tous des racines. L'auteur du Tablier d'humilité nous entraîne dans ces fermes normandes qui gardèrent longtemps leur secret, à l'écart des grand-routes ; il nous conduit sur la place du village, autour du clocher qui est alors le point de ralliement, pour côtoyer des valeurs, des coutumes qui disparaîtront, lorsque ces villages auront perdu leur véritable identité. Il y parfois dans Le dernier harnais la nostalgie d'un temps révolu, et toujours cette tendresse communicative pour les êtres que l'existence a endoloris et marginalisés : tous ces récits " d'hier " font resurgir pour nous des personnages qu'on oublie plus.

La quatrième de couv. indique : Après son roman à succès sur la Roche d'Oëtre et la poche de Falaise-Chambois, Michel Delaunay propulse le lecteur au coeur des forêts d'Andaines et d'Ecouves. La forêt se venge... Rumeurs superstieuses ? Pourtant, mine de rien, les victimes s'amoncellent... L'eldorado de bagnoles, fée balnéaire, ville châtoyannte aux touristes rieurs va-t-il s'éteindre pour le dérapage d'un notable perverti. A peine Antonin, jeune garde-chef renouvellement affecté, vient-il de renconter l'âme soeur, qu'il se retrouve aux prises avec un couple étrange aux pouvoirs insoupçonnables, dans un méli-mélo où le scandale enlace le fantastique. Du temple secret de Villiers aux étonnants sous-sol administratifs de la rue St-Blaise, en passant par l'abbaye antique qu'abriterait la Butte Chaumont, Antonin sortira-t-il intact de cette intrigue millénaire, aux ramifications incroyables. Pourra-t-on jamais rétablir l'odre métaphysique des choses, et surtout, plus prosaïquement, suffira-t-il toujours d'aller à Bagnoles pour trouver le bonheur ,

La 4ème de couverture indique : "Même le physique du garçon la mettait mal à l'aise. Il n'était pas exactement laid. Une tête intéressante, les pommettes hautes, la bouche bien ourlée, la peau appétissante, dorée comme un pain et, sous sa défroque, on devinait une silhouette déliée. Quelque chose n'allait pas. Voilà - à seize ans, il n'avait pas l'air d'un adolescent... » Elle a trente et un ans, deux jeunes enfants avec lesquels elle s'est jetée dans la grande pagaille de l'exode de juin 1940. Arrachée au monde douillet de la bourgeoisie parisienne, elle se retrouve sous les balles des stukas. La rencontre avec le garçon aux yeux gris va ouvrir une étrange parenthèse dans le tumulte de la guerre.

La quatrième de couverture indique : « Je ne savais pas que ce goût serait si difficile à vivre et encore plus difficile à assumer » écrit Janine Mesnildrey dès la première page de son roman. Et d’ouvrir ainsi un pan de mémoire qui nous donne à vivre les audaces, les hésitations, les doutes et les intermittences du cœur de la narratrice pour échapper à une vie trop vite « raisonnable, tracée dans une terre asséchée, où chaque victoire était une perte, une rivière disparue ». Le goût des hommes, qu’elle découvre toute jeune, alors qu’elle est déjà mariée, est d’abord le goût de la liberté, le goût de vivre pleinement, et presque à son corps défendant, des épanouissements qui ne sont pas que sensuels. On est là dans une longue réflexion qui part d’un temps révolu, remisé aux creux des malles du souvenir, alors que les angoisses de la grossesse - avant la pilule et Simone Veil - tourmentent les femmes qui, pour plagier la chanson, « aiment les hommes à femmes qui aiment les femmes à hommes ». On est aussi dans une parfaite contemporanéïté, quand se pose la question du sida, venue re compliquer les choses déjà pas si simples. Mais on rendrait bien trivial le récit si l’on s’en tenait à ces considérations pourtant fondamentales. Avec Janine Mesnildrey nous sommes surtout dans l’éternité d’une méditation, d’une profonde et très élégante interrogation sur la possibilité du couple, qui continue cependant à exister, en arrière-plan d’un autre art d’aimer. Nous sommes à l’antipode de la très respectable Catherine Millet et de ses libertinages exacerbés jusqu’à l’apparence de la froideur clinique. "Le goût des hommes" est un livre dont la finesse d’écriture transcende tout risque de complaisance voyeuriste. évoquant le désir lui-même et le plaisir, sans détour ni chaste pruderie, il est aussi bien plus que cela : une profondeur d’être qui intègre la tendresse, l’émotion, l’intelligence des autres autant que celle de soi-même. Et cette subtilité s’accompagne de la jouissance d’un parcours d’écriture. Parcours au sommet de la lecture philosophique également, ou littéraire, mais, pour le dire comme Verlaine, « sans rien en lui qui pèse ou qui pose ». Juste des évocations, des citations, qui dévoilent une rêverie songeuse et engagent une réflexion marquée par la sincérité d’un féminisme soft. Les hommes sont glorifiés et mis en blason. Les déceptions sont évoquées avec une touchante grandeur d’âme qui n’a rien de mièvre, et sont autant de retours sur soi qui confinent à une forme de sagesse. Un livre lumineux.

À Saint-Jean, petit village normand au milieu de nulle part, les derniers adieux aux morts n'ont pas leur pareil! Gabriel est devenu malgré lui "la plume des cercueils", écrivant les oraisons funèbres de défunts qu'il n'a même pas connus. Ses hommages aussi tendres que drôles rencontrent un franc succès et l'église fait salle comble à chaque inhumation! Le smorts s'enchaînent et la petite entreprise de Gabriel devient un vrai business. Un soir, tout bascule. Gabriel quitte Saint-Jean sans explications, laissant les villageois désemparés...

La quatrième de couv. indique : Deux mois et demi après le Débarquement, la Bataille de Normandie prend fin dans l'Orne, aux abords de la Dives, sonnant l'hallali de l'effroyable impérialisme nazi. Dans son livre solidement construit, instant après instant du 14 au 21 août 1944, Michel Delaunay nous entraîne dans le sillage d'Étienne, contraint de servir de chauffeur au général Eberbach. Etienne rapporte ces faits avec une grande précision dans son Journal, témoignage essentiel retrouvé quelques décennies plus tard par son fils Antoine. Celui-ci nous plonge alors dans le tohu-bohu de cette si meurtrière bataille sur les routes du bocage normand et du Houlme. Au fil du récit, l'auteur glisse sur le temps comme sur l'espace, en virtuose. Heurts, bonheurs, passions et drôleries surgissent aux détours des chemins, nous précipitant dans l'intrigue. Mais chacun des trésors recherchés ne se livrera que jalousement. L'histoire des amours d'hier et d'aujourd'hui, clés de nos vies, dévoilera-t-elle à Antoine ses vraies origines ? Saura-t-il enfin s'il descend d'un traître ou d'un héros ?

La quatrième page de couverture indique : Le récit se déroule au siècle dernier, au milieu des années cinquante, dans un petit village du Cotentin, un décor champêtre sur lequel plane encore l'ombre des jours sombres de la guerre et de l'occupation allemande. Avec son vocabulaire teinté de patois normand et un regard empreint de curiosité et de beaucoup de naïvetté, un gamin de dix ans, Gérard -le petit béda- observe et dépeint avec naturel, spontanéité, humour et tendresse, les coutumes, les habitudes, les évènements ainsi que les personnages -souvent pittoresques- qui jalonnent son existence. Une autobiographie romancée d'une enfance ou le chant du marteau frappé sur l'enclume ponctuait le quotidien tandis que le commémoration de l'armistice, la visite du marchand de peaux de lapin, la promenage scolaire et parfois le passage du Tour de France rythmaient les saisons. Le petit béda est une immersion dans un autre temps, dans un quotidien grégaire et parfois insolite, à l'aube d'une ère nouvelle.

La 4e page de couverture indique : Après une trahison amoureuse, Marie, jeune Granvillaise originaire de la Haute-Ville, ne rêve que de nouveaux horizons. L'occasion lui est donnée de travailler chez Viaggi, une agence de voyages internationale, comme adjointe du fils du directeur. Un homme simple, vif et aimable. Trop aimable peut-être ? Pas si simple en fait. Entre rêves d'évasion et réalité, Marie se trouve confrontée à l'horreur de la guerre qui fait des ravages à la frontière syrienne. Arrivera-t-elle à dénouer l'écheveau du drame qui se joue devant elle ?

Vingt ans après sa fuite de Québec assiégé, Guillaume Tremaine a réalisé son rêve : reconstruire sa maison natale, "Les Treize Vents", dans le Cotentin. Mais en ce printemps 1790, la tempête s'abat sur " l'Acropole normande " : Guillaume a retrouvé Marie-Douce, la compagne de jeux, l'amie d'enfance jamais oubliée. Comment résister à ce premier amour magnifié par la séparation ? Comment se dérober à la jalousie d'Agnès, son épouse, femme ardente et possessive, implacable s'il en est? Bientôt le vent furieux de la Révolution aggrave la discorde dans le ménage de Guillaume qui affronte sans répit l'entêtement aristocratique d'une Agnès prête aux sacrifices les plus fous pour sauver son Roi.Tout pourrait encore s'arranger... si de funestes machinations ne se tramaient contre Marie-Douce et Guillaume; si ce dernier ne disparaissait subitement par une nuit de tempête; si, enfin, un mystérieux chevalier maltais, partant se réfugier en Hollande, ne faisait halte aux Treize Vents.

La quatrième de couv. indique : Les Normands sont les fils des Hommes Libres du Nord. En l'an 1000, ils voulaient conquérir le monde, dépasser l'horizon. Leurs idées de partage et de tolérance feront trembler les empires et vaciller les pouvoirs religieux... Abandonné aux confins de la Pouille et de la Calabre, Robert de Hauteville doit faire preuve de sa bravoure auprès de ses frères. Doué d'une force physique hors du commun, le jeune Normand rassemblera sous sa bannière les laissés-pour-compte sans distinction de race ou de religion. Juifs et Musulmans se retrouvent côte à côte pour affronter à un contre cent les armées de l'empire de Byzance et celle du pape Léon IX, dans ce que l'on considère aujourd'hui comme étant la première croisade de notre histoire. Robert, surnommé le Guiscard, rêve d'empires et sa soif de pouvoir le rend aveugle à l'amour de la belle Simhoni...

Le 21 juin 1786, Louis XVI, qui n'a jamais voyagé, décide de se rendre à Cherbourg, contre l'avis de ses plus proches conseillers. Que compte-t-il rapporter de ce périple dans un territoire qu'on prétend hostile ? Pourquoi traverser ces terres où vivent encore des sorcières et plane le souvenir des invasions Vikings ? Roi lettré qui pratique couramment plusieurs langues, il sait tout des navires et des monstres marins. Il est capable de dresser la carte de l'expédition autour du monde de La Pérouse, mais n'a jamais embarqué, à trente-deux ans, sur un bateau ni vu la mer. Bouleversé par le spectacle de ces eaux déchaînées et de ce peuple qu'il découvre enfin, il se met à rêver à une société plus juste.Gérard de Cortanze nous propose un voyage échevelé et passionnant en terre normande, et nous fait découvrir un Louis XVI intime, humaniste, plus à l'aise avec les humbles que parmi ses courtisans : un Louis XVI comme on ne l'a encore jamais vu.

La quatrième de couv. indique : 1916 Sainte-Mère-Eglise, Marie a tout juste 20 ans. Infirmière à l'hôpital Pasteur de Cherbourg, elle décide de répondre à l'appel de la Croix-Rouge pour aller travailler dans un hôpital supplémentaire, du côté de Verdun. Le hasard met sur son chemin un mystérieux soldat blessé qu'elle rejoint bientôt à GERADMER dans les Vosges. La guerre passe et Marie revient en Normandie avec son enfant. 1939 c'est ce dernier, appelé au service de la patrie, au hasard d'une affectation à Gérardmer qui plonge dans le passé de sa mère. Pour y trouver son père ? Quelle autre surprise l'attend ? Entre maquis, Gestapo, et camp de concentration, c'est le quotidien des soldats et de leur famille que nous sommes invités à découvrir à travers cette histoire, particulièrement originale et captivante.

La quatrième page de couverture indique : Cet ouvrage témoigne d'une nouvelle dynamique du Collège. Il est une réponse à nos aspirations : rapprocher l'école de la vie, redonner du sens au théorique par une approche pédagogique transversale, apprentissage de l'autonomie en développant des méthodes pour mieux appréhender la connaissance, mieux connaître et valoriser notre patrimoine local. C'est grâce au dynamisme de Louis-Claude KERFOURN que ce roman-guide enrichira la production du Collère Gambetta de Carentan. C'est bien d'une oeuvre collective dont il s'agit : celle de trois classes du cinquième et d'une équipe de professeurs. C'est aussi l'encouragement et le soutien du Par Naturel des Marais du Cotentin et du Bessin et de trois entreprises locales concernées par notre environnement et sensibles à l'éducation qui ont aidé au financement de l'édition du "SECRET DES MARAIS". Ce sont encore les communes qui ont répondu à notre proposition d'ouverture d'une page guide à leur intention qui nous font découvrir leur richesse et leur dynamisme. Nul doute que le lecteur prendra plaisir à lire "ce roman-jeunes". Misère, révolte, solidarité, mystère, réalise, poésie, premiers émois de l'amour chez deux adolescents... Une invitation à accompagner nos héros, Aude et Bertrand le Hari entre Lessay et Tatihou, Tribehou et Carentan. Et pourquoi ne pas repartir sur leurs pas à l'occasion de promenades pour découvrir ou redécouvrir notre Parc Régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

La quatrième de couv. indique : "Par une nuit de novembre 1872, sur les hauteurs de Rouen, Delphin Luce, un garçon de dix ans, et la jeune Justine Boulard sont sauvagement agressés, au retour de l'usine de tissage où ils sont employés. L'enfant périt dans cette attaque qui bouleverse la Normandie.Lorsqu'elle recouvre la parole, Justine varie dans la description de son agresseur et la police multiplie les arrestations, aiguillonnée par la presse, les rumeurs, les dénonciations. Enfin, à la surprise générale, la jeune fille désigne un proche, père de famille jouissant d'une honorable réputation.Faut-il la croire ? Confronté à la fragilité des témoignages, à l'ambiguïté des faits, aux silences de Justine qui réveillent les spectres de l'occupation prussienne récente, le juge d'instruction Julien Delavigne doit éclairer de bien sombres mystères. Avant de guider la justice vers un inattendu coupable...« ENQUÊTE, SUSPENSE, HUMOUR, ÉMOTION ET UNE SUPERBE PLONGÉE DANS ROUEN IL Y A 150 ANS : UNE RÉUSSITE ! » MICHEL BUSSI. Tout en dénouant les fils d'une authentique énigme judiciaire, Yves Jacob, récompensé notamment par le prix Guillaume-le-Conquérant et le prix du Roman populaire, brosse une passionnante peinture de la Normandie du XIXe siècle, entre ville et campagne, bourgeoisie distinguée et monde ouvrier."

La 4ème page de couverture indique: Lorsque le jeune Hervé de Vierville, un jour de 1788, reçoit d'un ancien marin un porte-bonheur rapporté des Indes, il ne sait pas encore que ce talisman sera transmis à ses descendants, de génération en génération jusqu'en 1974. De la presqu'ile du Cotentin aux jardins de la Californie, à travers des aventures diverses- le sauvetage de la petite Tatiana des flammes de l'incendie de Moscou en 1812, la consécration au rang de vedette de cinéma de la belle Bénédicte en 1949, le naufrage de l'Alabama au large de Cherbourg, un duel d'honneur à Valognes, la commune, un combat aérien en 1917, les exactions de la gestapo-, le talisman remplira son office de pierre bénéfique jusqu'au jour où il sera oublié au fond d'un tiroir. Mais ce talisman perdu, qu'un éboueur retrouvera une veille de Noël, sera peut-être la cause d'un de ces événements médiatiques dont toute la presse à l'époque se fit l'écho.

La quatrième page de couverture indique : Gégé, Clément et Francis avaient 16 ans en 1962. Ils vivaient dans un petit village rural du Cotentin. C'était le temps des copains, du nouveau franc, des boums, des Mobs bricolées, des cheveux longs, des blousons noirs, des pantalons "pat'd'éph" et des premiers émois amoureux. Séparés par les exigences de la vie, cinquante ans plus tard ils se retrouvent lors d'une rencontre d'anciens élèves. Moment privilégié pour les trois comparses et leurs amis de revisiter l'enfance, les années d'écolier et les frénésies d'une adolescence aux prises avec un monde en effervescence. Une épouqe où la machine à laver le linge, la botteleuse, le transistor, la télévision, le moulin à café et ... la clôture électrique chamboulent les usages. Tenté de patois normand, le récit romancé, narré à la première personne du singulier, est une truculente évocation d'un temps révolu, générateur de destins improbables sinon prémonitoires.

La quatrième page de couverture indique : A coutances, dans les dernières années du XXème siècle vivent un jeune homme et son épouse, Bruno et Camille. Lui est un artiste, efnin tout le monde le dit et il finit par le croire. Il dessine bien, peint aussi, il sculpe un peu, et se lance même dans l'écriture. Seulement voilà : il est moyen, souvent. Il est correct en presque tout. Il n'est pas mauvais, mais ... mais il n'est pas excellent ni en dessin, ni en peinture, ni en sculpure, quant à l'écriture ... Bref, au grand dam de Camille qui doit subir des stages à répétition pour gagner leur vie, Bruno se désole et commence à baisser les bras. Un jour pourtant, tout bascule. Lui, l'enfant adopté, il apprend qui est son père biologique. Il l'apprend en même temps qu'il découvre ce qu'il est : "Ange Fréval est un fou ivre de sang". Et oui, ce père, cet Ange Fréval est un assassin que l'on vient de prendre sur les bord de Sienne, un peintre assassin qui va passer au tribunal, être reconnu irresponsable de ses actes, et interné en hôpital psychiatrique pour finalement y mourir quelques années plus tard. Seulement, avant de mourir, Ange Fréval, le monstre de l'estuaire, a le temps, tout juste le temps de léguer à son fils unique un livre testament, livre dans lequel il se raconte. En fait, ce livre se révèle être un double testament.