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La quatrième page de couverture indique : Les "Contes de ma région" vous feront découvrir ou redécouvrir la vie des gens simples et l'aide féérique que la faune et la flore apportent à nos héros. Enfin vous porterez sur Mont-Saint-Michel un autre regard.

La 4e de couverture indique : Guy de Maupassant, auteur normand, de l'époque de Flaubert, ami de sa famille, est un conteur de génie. Il fut le plus naturaliste de tous les écrivains de sa génération. Son style, d'une assurance robuste et tranquille, est sobre et net. Son observation aiguë, révèle une sensibilité voluptueuse et inquiète. Ce sont quelques 23 contes, tous de grande facture, que Maupassant a concocté pour le grand plaisir du lecteur.

La 4ème de couverture indique : Créatures fantastiques qui hantent, la nuit, grèves et falaises; exploits du Diable et de ses démons; légendes celtes sur lesquelles plane le mystère des druides; récits de la mer; aventures de Gargantua ou moeurs et coutumes des villages... La Normandie reste un terroir privilégié pour les contes et légendes populaires.

La Normandie n'est pas seulement ce pays de bocage aux verts pâturages jalonné de pommiers. C'est aussi des plateaux crayeux clairsemés de maisons à colombage, des vallées comme celle de la Seine aux versants escarpés, de vastes forêts et des côtes où les falaises surplombent d'immenses plages de galets... Dans cette région qui s'étend de Dieppe au Mont-Saint-Michel et de Cherbourg à Alençon, où l'on mange d'excellents fromages et où l'on boit du cidre et du calva, on n'a pas oublié les fées ni les sorciers. Le diable même vous rend parfois visite... Sur les toutes de Normandie. Bertrand Solet a glané une vingtaine de contes. Ils nous peignent cette province fraîche et verdoyante, où le surnaturel s'immisce dans la réalité, où les bergères cachent quelquefois des fées.

L'océan n'a pas épargné la famille Kersanton. Trois ans, trois morts. Deux fils et aujourd'hui, leur père, engloutis par les flots. Maëlys a depuis longtemps fui l'île de Sein pour mener à bien des missions humanitaires en Afrique, mais ce nouveau deuil la pousse à affronter ses démons. Elle doit soutenir sa mère Yvonne qui, bercée de légendes bretonnes, semble doucement se laisser gagner par la folie. Maëlys a aussi à cœur de soulager sa jeune sœur Morgan, qui s'est déjà tant sacrifiée. À peine arrivée, elle est frappée par l'animosité qui règne entre Yvonne et les Saint-Luan, une riche famille voisine, avide de terres. Épreuves, secrets, trahisons... Un chemin sinueux attend les deux sœurs, avec l'espoir du bonheur, demain peut-être ?

La quatrième de couv. indique : Les Nörmands est thriller historique dont les faits réels dépassent l'imaginaire. Dans la Normandie de l'an mille, l'intolérance fait bon ménage avec l'ignorance et rares sont les hommes qui défendent les valeurs de liberté et de partage, les femmes qui osent revendiquer le droit d'aimer... pour changer l'ordre des choses, et instaurer l'une des premières démocraties de notre histoire, la famille de Hauteville partira à la conquête de l'horizon. Ces fils du Cotentin feront trembler les empires, brûleront Rome et emprisonneront le pape Léon IX, pour se tailler des royaumes à la hauteur de leurs ambitions. Le poète Dante disait d'eux qu'ils étaient " La terreur du monde ".

La 4ème page de couverture indique : En d'autres siècles, être aussi rousse et jolie était condamnable et vous expédiait au bûcher séance tenante. Oui, les siècles d'avant étaient cons. Le nôtre ne l'est pas moins, certes, mais nous permet au moins de nous enflammer pour une belle personne sans qu'elle n'ait à roussir plus encore de notre enthousiasme incendiaire. Et embrasés, nous le sommes, chaque fois que notre rousse Marion, telle une Hestia de la littérature noire, nous gratifie d'un texte qui réduit en cendres les barrières entre polar et altruisme, entre hargne et humanité, entre authenticité et rock'n'roll. Humaine et féministe, ce qui devrait être une redondance dans un monde parfait, chacune de ses nouvelles nous ouvre, ligne après ligne, la voie d'un univers où riment griffe et riff, douleur et douceur... Jean-Luc Manet Marion Chemin est née le 8 avril 1977 à Saint-Brieuc, le jour de la sortie du premier album des Clash. Pour ses 17 ans, le corps sans vie de Kurt cobain est découvert, elle ne soufflera pas ses bougies et suppose qu'elle a raté ses études à cause de ça. Installée en Normandie depuis vingt ans, elle écrit des nouvelles noires, dont près d'une trentaine ont été publiées, et des romans quand ses quatre enfants lui en laissent le temps.

La quatrième de couv. indique : Ces contes et légendes recueillis dans le Cotentin ressemblent pour la plupart à bien d'autres venant des pays de Normandie ou de France. On peut y jeter un regard amusé, mais sachons qu'ils ont nourri l'imaginaire de nos aïeux jusqu'à il y a peu. Beaucoup de nous encore auront été effrayés par les histoires de goubelins et de loups-garous pendant leur petite enfance ou émerveillés par les bonnes ou mauvaises fées. Nous avions là dans nos contrées, matière à une mythologie. Manquait un Homère local pour composer le récit. L'ensemble constitue une geste guerrière, superstitieuse, religieuse où il s'agit toujours de pouvoir et de pouvoirs: soumettre des hommes, des peuples, abolir des croyances, imposer une religion. Mais au-delà de l'anecdote, tout cela a bien un sens, une signification voilée qui correspond à quelque nécessité pour avoir traversé les siècles.

La quatrième de couv. indique : " Nos clochers ? Dieu sait s'ils sont nombreux, chez nous. Peut-être sept cents ? Eh bien, dans le paysage, le temps n'est pas loin où ils apparaîtront comme de simples bornes commémoratives..." Ainsi s'exprime l'un des personnages de cette chronique villageoise, qui regarde mourir le monde où il a toujours vécu. Cette histoire quotidienne sur la déserfication de la campagne normande, plonge au coeur des passions ancestrales. L'auteur nous fait partager, jusqu'à l'angoisse, cet âpre combat d'un monde rural qui lutte désespérément pour survivre et conserver son identité.

La quatrième page de couverture indique : 1944. Les Alliés s'apprêtent à lancer sur les plages normandes la plus formidable opération militaire de tous les temps. Pour le succès du jour J, il faut impérativement convaincre Hitler et l'état major allemand que le débarquement de Normandie n'est qu'une diversion et que, en réalité, le vrai débarquement aura lieu dans le Pas-de-Calais, trois jours plus tard. C'est l'objectif de l'opération ultra-secrète Fortitude. "Fortitude" est à la fois un grand roman d'aventures et le récit de cet épisode passionnant de la Seconde Guerre mondiale. Une histoire haletante, faite d'amour et d'héroïsme, de sacrifices et de trahisons, qui mêle admirablement la fiction à la réalité. Best-seller mondial, "Fortitude" est aujourd'hui un grand film diffusé sur TFl pour la commémoration du débarquement.

La quatrième de couv. indique : De George Sand s'impose l'image de la "bonne dame de Nohant". Celle qui, ayant derrière elle une riche carrière littéraire, s'occupait de son jardin et de ses œuvres. Pourtant, la romancière fut tout autre que cette image surannée : une amoureuse ardente, une républicaine, une combattante de la cause des femmes. Pourquoi un tel fossé entre ce qu'elle fut et l'image qu'elle a laissée ? En grande partie parce que, dans ses mémoires, George Sand a occulté tout un pan de sa vie. C'est cette histoire cachée que font revivre ces Carnets secrets, histoire romancée qui repose entièrement sur des faits avérés. Alors que sa fille Solange lit les confidences û fictives û de George Sand, les points de vue de la mère et de la fille se répondent. Ils dressent le portrait d'une femme libre, passionnément amoureuse û notamment de Musset et de Chopin û, qui mène sa vie personnelle et sa carrière d'une même main de fer. George Sand est une fantaisiste organisée, une passionnée à la tête froide qui place sa liberté au-dessus de tout le reste. Une femme à la modernité éclatante.

La quatrième page de couverture indique : Juin 1994, la France célèbre les 50 ans du Débarquement. Devant la télé de son petit appartement de Berlin, Herman regarde des reportages qui lui rappellent sa jeunesse. Il a fait partie des troupes d'occupation avant les évènements du 6 Juin. Soudain, à l'image, il croir voir Jeanne, son premier amour ! Propulsé cinquante ans en arrière, Herman décide de retourner en Normandie pour son premier voyage depuis la Chute du Mur. Il veut revoir cette femme. Cean, Isigny, Bayeux, La Cambe, Omaha Beach, la Normandie lui revient en mémoire même si elle a bien changé. Sa quête le mènera jusqu'au bout du chemin.