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La quatrième page de couverture indique : Milan, 1508. Un matin d'avril, la tête d'un architecte récemment installé en ville est retrouvée dans le baptistère de Saint-Ambroise. Chargé d'enquêter sur cette affaire, le prévôt Vittore, pourtant connu dans toute l'Itale pour sa brillante intelligence, est bien en peine d'en démêler les fils. Ce célibataire endurci est-il à ce point troublé par la ravissante veuve de la victime, qui en sait sans doute plus qu'elle n'en dit ? Rien dans ce meurtre n'est ordinaire. Ni l'attitude de l'évêque de Milan, qui semble redouter le pire des cataclysmes, ni l'arrivée subite du célèbre Michelangelo, qui a dû pour cela abandonner la fresque qu'il est en train de peindre à Rome, dans la chapelle de Sixte. Mais le plus troublant demeure ce plat d'argent où reposait la tête tranchée, et sur lequel sont grossièrement gravés ces trois mots : VENIT IUSTITAE SOL - Le Soleil de Justice a brillé.

La 4e page de couveture indique : Canard et Victor, fameux tandem d'enquêteurs, de nouveau réunis ! Un clochard namangais est retrouvé assassiné, le corps lacéré de coups de griffes... Le dessin d'un cercle brisé d'une ligne, laissé à ses côtés, est un indice précieux, quoique incompréhensible à ce stade de l'enquête... L'inspecteur Victor est mis sur l'affaire et Canard, le mystérieux informateur des Trois Crimes d'Anubis, lui propose de nouveau son aide. Alors ? Complot politique, malédiction namangaise... ou tour de magie noire ? Aucune piste n'est à écarter !