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Esther devient petit à petit l'ombre d'elle-même, et elle pourrait couler des jours monotones et répétitifs avec les pensionnaires de l'unité Alzheimer de l'EHPAD La Claire Passerelle. Mais les visites hebdomadaires de ses filles, les péripéties de pensionnaires fascinants et déjantés, et certains projets immobiliers alentour vont modifier le cours trop bien établi de la vie de chacun. À travers les personnages atteints de cette « putain de maladie », c'est notre vie qui se révèle, avec sa conception de l'amour, du vieillissement et de la mort. La mémoire est mise à mal, les rapports de générations et d'argent sont bouleversés, et les préjugés religieux et culturels sont remis en question. Se peut-il alors que tout puisse basculer grâce à l'implantation de « Soleil Bleu », un parc de loisirs, au voisinage de l'établissement ? Et pourquoi faudrait-il que cette maladie soit une fatalité ? L'angoisse ici est aussi présente que l'humour. Les réminiscences exactes ou imaginées par l'auteure, permettent d'appréhender au plus près le désarroi des familles, et peut-être aussi une autre vision de l'inéluctable...

La quatrième page de couverture indique : A seize ans, il fait un enfant à la couturière de la préfecture. A dix-sept, il se bat en duel pour la jeune fille qu'il aime. Puis il s'embarque pour le Nouveau Monde, partage la vie des Peaux-Rouges, fait naufrage dans le Mississippi, croise Davy Crockett et frôle la mort au fond de la forêt vierge avant d'être reçu à la Maison Blanche... Aristocrate, il devient le héraut de la démocratie. Neveu de Chateaubriand, descendant de Saint Louis, de Vauban et de Malesherbes, il vit une idylle fusionnelle et tumultueuse avec Mry Mottley, une anglaise roturière, protestante, pauvre, de six ans son aînée, qu'il épouse contre la volonté de sa famille. Cet homme, qui publie au retour de son voyage en Amérique un livre visionnaire, c'est Alexis de Tocqueville. Français le plus connu au monde avec La Fayette, Napoléon et de Gaulle, il est davantage renommé pour ses écrits que pour sa vie, pourtant étonnante et passionnante, aux antipodes de l'image austère qui lui est habituellement prêtée. De l'Amérique à la Normandie, du jeune pionnier à l'académicien, des salons de Madame Récamier aux geôles de Napoléon III, ce roman biographique nous fait découvrir de façon aussi divertissante qu'instructive toutes les facettes de ce grand personnage.

La quatrième de couv. indique : Anne est journaliste. Camille est comédienne. Lorsque des années plus tôt ces deux femmes se rencontrent, c'est le coup de foudre. Entières et passionnées, elles ne supportent ni la tiédeur ni la routine. Mais aujourd'hui, Anne part. Elle a trompé Camille avec Sabine et tout a volé en éclats. Sur la route vers Nevers, Anne réfléchit à son histoire passée. Elle se demande quelle place prêter à Sabine. Déclencheur d'une rupture non assumée ? Nouvel amour possible ? Jusqu'où l'emmènera ce voyage intérieur ? Un train suffit-il pour passer d'une histoire à une autre ?

Ce livre est une réédition de l'ouvrage publié en 1884 par Jean Fleury, sous le titre "Littérature orale de la Basse-Normandie". Il est le fruit d'une minutieuse collecte réalisée par l'auteur à travers les campagnes de la Basse-Normandie. La tradition orale normande est cette culture transmise de génération en génération par la seule oralité. Elle est une partie essentielle du folklore normand, et un morceau de notre patrimoine. Elle été aussi l'une des formes principales de l'éducation de nos ancêtres pendant des générations. Jean Fleury doit être compté parmi ces grands collecteurs de contes et de tradition de nos terroirs. Les collecteurs ont amassé et mis sur le papier à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle cette tradition orale qui a longtemps régi la création et la circulation des histoires dans nos communautés humaines. Dans cette collecte, le lecteur trouvera, outre les contes et légendes, des comptines, des fables, des chansons, des dictons, des proverbesà

Comment réussir dans le milieu de la presse parisienne quand on est sans fortune, sans formation et qu’on ne possède aucun talent particulier ? Par le hasard d’une rencontre, assurémentà mais aussi grâce au charme, à la séduction, autant d’atout qui vaudrons à George Duroy le surnom de « Bel-Ami ». Ecrit dans une langue très moderne, ce roman fascine et amuse par l’acuité du regard de Maupassant, sa description souvent grinçante, satirique et parfois comique de la société parisienne de la fin du XIXe siècle. Et son héros, opportuniste et sans scrupule, ne laisse pas de nous questionner sur notre époque et sur ce que nous sommes prêts à faire pour parvenir à nos finsà

Le XVIIIe siècle, le siècle des Lumières. Dix années particulièrement denses pendant le séjour diplomatique de Benjamin Franklin afin de solliciter l'aide de la france pour acquérir l'indépendance des États-Unis. Dix années au coeur de sa vie sociale, de ses rencontres amicales, de ses liaisons avec les personnalités les plus en vue à Paris et dans les villages de Passy et Auteuil. En particulier avec une certaine musicienne de talent, Anne-Louise Brillon de Jouy, qui ne se lassera jamais de lui crier son admiration et de lui témoigner une amitié amoureuse contrariée. Retirée dans son château de Normandie, après la Révolution, celle-ci se souvient. Les musiciens venus d'Allemagne et d'Italie, les peintres, les philosophes, les financiers, les gens de la Cour. Toute une vie au sein d'une classe de privilégiés, à se demander s'ils sont heureux.

La 4ème de couverture indique : Notre jeune retraité MARCEL LAUNAY marche pour nous donner de ses nouvelles... Tous ses sens sont en éveil et les poèmes de ce recueil ainsi que les petits récits qui le composent sont des instantannés qu'il nous offre après les avoir développés dans le laboratoire de sa sensibilité à "compte de regard...". La nature, les personnages et les situations qu'il nous décrit sont des invitations à une exposition de peinture par les mots... C'est comme ça!!! Alors suivons-le pour une promenade d'hier à aujourd'hui calme et sans danger.

La quatrième de couv. indique : Dix auteurs en Cotentin et un illustrateur réunis pour évoquer l'espoir malgré la peur, la joie immense malgré la souffrance, l'héroïsme de ces jeunes hommes de vingt ans venus d'ailleurs et les petits gestes de chaque jour de gens d'ici pour secouer le joug, affirmer son Humanité, au risque de sa peau, pour sauver la Vie... Nous avons invité à se joindre à nous un témoin direct des combats dans notre bocage, aujourd'hui âgé de 90 ans. Des Nouvelles nées de l'imagination des uns, des Récits puisés dans le souvenir des autres, des Témoignages enfin de la vie au cours de " CET ETE LA... 1944 " pour faire Mémoire et ne rien oublier 70 ans après, dans la Paix revenue et l'Amitié retrouvée. Si fragiles.

La 4ème de couv. indique : Charlotte, amazone du Cotentin 1824 : Charlotte, la jeune servante du relais de poste près de Carentan, est heureuse en compagnie des chevaux qu'on lui confie. Elle les aime tous, qu'ils soient pur-sang ou d'origine incertaine. Le vol d'un étalon dans les écuries de l'auberge va bouleverser sa vie. Quel est ce terrifiant cavalier au masque d'oiseau qui la menace ? Pourquoi monsieur le comte se montre-t-il si méprisant envers elle ? L'amour qu'elle éprouve pour le fils de sa patronne va-t-il résister aux intrigues et à l'absence ? Nous suivons Charlotte à travers la vie quotidienne dans les marais et les villages cotentinois. On applaudit avec elle le spectacle équestre des saltimbanques, on s'amuse à la fête du cochon, mais on tremble quand une terrible épidémie s'installe et menace les villageois. Passionnée, amoureuse et volontaire, Charlotte nous entraîne avec ses chevaux dans de palpitantes aventures.

La 4ème de couverture indique : Nous sommes dans le Nord-Cotentin, en pleine Terreur. Funeste an I de la République au cours duquel Clarisse perd deux êtres chers : son père - le jour même où Louis XVI est guillotiné - et son mari, emporté par une crise de démence. Dans le même temps, le plus jeune de ses frères, un prêtre non-jureur, est traqué par Jean-Baptiste Lecarpentier, le Conventionnel manchois qui emprisonne et déporte à tout va...alors, perdue dans son cheminement idéologique, Clarisse se heurte aux voies impénétrables de la République.

Dans ce nouveau roman aux multiples rebondissements, Yves Jacob nous raconte l'enfance de Claudius, de son frère, de sa sœur et de leurs copains à Dinan et dans ses environs pendant et après l'Occupation. Et, pour les enfants de cette époque, quoi de plus exaltant que la guerre. Une chronique, qui nous rappelle irrésistiblement "La Guerre des boutons" et qui nous présente le quotidien de garnements cocasses et haut en couleurs.

La quatrième de couv. indique : Jeune auteur normand, Philippe Coépel a déjà publié "Que maudite soit la guerre !" il s y révélait sensible historien, patient enquêteur et humaniste profond. "Comme un arc-en-ciel ..." son second ouvrage, qui est aussi son premier roman, nous plonge dans le mal-être qui ronge une grande partie de notre société "bétonnée" Dans cette histoire toute en finesse, se mêlent beauté et laideur, pureté et vilenie, joie de vivre et résignation, amour de l'autre et haine de la différence, crime et renaissance. Son écriture, comme une musique, rend palpable le bonheur et le malheur des personnages. Au bout de quelques pages, on n'échappe plus à l'atmosphère étrange de ce livre ; il nous happe jusqu'à la fin, jusqu'à ce que, avec Jacques, nous comprenions que "la grâce toujours renaît, obligeant, demain, le monde à devenir plus beau que le monde." "Comme un arc-en-ciel ...", Roman message d'espoir... Si les arcs-en-ciel sont éphémères, ne laissent-ils pas toujours en nous quelque chose de leur beauté ?

Armand de Penthou est un jeune gentilhomme viveur et athée, devenu prêtre par la volonté de son père. Il aime les belles dames, le bon vin ainsi que les jeux de hasard et n'a aucune prédisposition pour la prêtrise. Ses goûts et désirs profanes ne vont pas manquer de l'entraîner dans des mésaventures périlleuses de Caen jusqu'à Marseille, victime de l'arbitraire des juges ou de la jalousie des femmes. Dans ce roman historique, Grégory Laignel nous transporte au début du XVIIIe siècle sur les pas d'un curé libertin qui veut échapper à la vie qu'on lui a imposée. L'humour, la sensualité et l'aventure sont au rendez-vous dans cette grande fresque romanesque.

La quatrième page de couverture indique : Les "Contes de ma région" vous feront découvrir ou redécouvrir la vie des gens simples et l'aide féérique que la faune et la flore apportent à nos héros. Enfin vous porterez sur Mont-Saint-Michel un autre regard.